Postulé pour un emploi? Pourquoi pas [18 ans et +] (Pv: Caleb et Marissa)

Oui, c’était carrément stupide de croire que cet homme allait de dévorer. Après tout, il y avait très peu de chance que ça arrive, à moins qu’il ne soit un loup-garou ou un cannibale. Rassuré malgré moi par cette remarque stupide, je me suis mise à sourire doucement et à attendre. Je n’eus pas à attendre bien longtemps qu’une voix chaude et virile vint me faire sursauter. De toute évidence, le nouveau venu m’avait entendu puisqu’il me dit qu’il avait envisagé me dévorer des yeux pendant que je dansais pour lui. Je me suis tourné vers l’individu pour lui dire qu’il se trompait, que je ne travaillais pas encore ici et que de toute façon, ce n’était pas encore ouvert, lorsque je me suis figé. Non, cet homme n’était pas un client du bar, j’en étais sûr. Séduisant et virile, il montrait une assurance et une légère arrogance peu commune aux gens qui devaient fréquenter cet établissement. Non, c’était un ensemble de chose, mais il semblait dégager une certaine aura de pouvoir. Je ne lui ais rien répondu, je lui ais seulement fait un joli sourire tout en l’observant. Il était très séduisant, avec un physique agréable à regarder. La seule chose qui me rendait légèrement mal à l’aise c’était ses yeux; bien que malicieux, un petit éclat de dureté y semblait cacher, comme s’il fallait toujours se méfier de lui. Décidant de ne pas le juger avant de connaitre cet inconnu, je me suis surprise à lui sourire avec une joie ensoleillé. Oui, mes sourires goutaient souvent le soleil. En tout cas, c’est ce que je me plaisais à penser.


Je le vis s’avancer vers moi d’un pas assuré, presque conquérant. Non, on ne réussirait pas à me faire croire que cet homme était un simple employé ici. Mes soupçons se révélèrent véridique lorsqu’il déclama son nom en m’aidant à me lever. C’était lui Caleb Sullivan? Mais je m’attendais à une personne âgée tout rabougris avec un sourire pervers! Pas à cet homme dans la fleur de l’âge! Me reconcentrant sur son discours pour ne pas manquer un détail, je me suis mise à le regarder avec douceur. Après tout, je n’étais pas une folle furieuse….ou presque. Un frisson me parcourut la colonne vertébrale lorsqu’il me spécifia qu’ici tous les fantasmes ou presque des clients devenaient réalités, s’ils payaient. Me baisé? Ce Caleb était d’un pervers! Il n’aurait pas pu utiliser des termes moins crue! D’un autre côté, étais-je vraiment choqué? J’étais dans un Strip club, pas dans une fête foraine. Ce qui me laissa en déroute c’est ce qu’il me dit par la suite. L’entrevue se déroulerait comme s’il était un client qui demandait une danse, un strip-tease et finalement une bonne baise. J’allais donc devoir coucher avec lui? Ici? Sur scène! Malgré que mon visage ne démontrait rien, un certain sentiment d’angoisse me parcourut et mon cœur se mit à battre à tout rompre. Je sais que c’est idiot, mais je ne pensais pas que tout irait si vite et si…brusquement. Si je voulais partir, je le pouvais me spécifia t-il. La tentation était grande, je dois vous l’avouer. Pourquoi? Parce que moi j’adorais mon corps, mais ce n’était pas le cas pour les autres. Je savais que je serais vexé s’il me faisait des commentaires du genre : Tu pourrais te faire grossir les seins ou quelque chose du genre. Pourtant, je savais avant de venir ici que j’allais être jugé pour mon physique. C’était un emploi de danseuse! Mais couché avec pleins de gens…je n’avais certainement pas prévu ça. Couché avec mon patron, encore moins! Pendant que je restais sur place à débattre avec ma conscience, j’ai vu Caleb, manette à la main s’assoir sur une chaise, au centre même de la scène.


Furieusement, je me suis dirigé vers lui et j’ai levé ma main dans pour giflé l’air et … lui arraché la manette des mains. Je me suis assis sur ses cuisses, bien ancré sur son bassin et je lui ais mit mes bras autour de son cou. « Si ça ne vous dérange pas, je suis habitué d’être en contrôle » lui dis-je suavement, d’une voix séductrice. Mais d’où me venais cette excitation? C’était sans doute l’interdit qui me faisait autant frémir. Avec une moue amusé, j’ai appuyé sur le bouton ‘’PLAY’’ avant de lancer la manette loin sur le sol. Une lente musique chaude et sensuelle commencé. Lentement, mon bassin et mon torse se mirent à onduler en serpent près du corps de Caleb, le frôlant légèrement, pour le rendre fou. Moi, je ne le quittais pas des yeux, me mordant la lèvre inférieure. Lentement, je me suis lever en roulant du bassin et j’ai prit un peu de distance. Lui faisant un clin d’œil complice, je me suis lentement approché de lui à nouveau en me déhanchant sur la musique et j’ai dégagé son pied gauche avec mon pied droit, répétant la même chose avec son pied droit. Ainsi, ses jambes étaient bien écartées, de sorte que je puisse l’avoir totalement à ma merci. Tout en faisant cela, mon corps continuait à se balancer sensuellement sur la musique pendant que, lentement, mes mains posées sur mes jambes remontaient lentement et langoureusement sur mes jambes, mes hanches et finissant à aller caresser mes seins ivoire encore cachés par mes vêtements. J’ai alors prit ses mains et je l’ai ais posé moi-même sur mes seins, afin de le sentir plus près de moi, et je me suis approché lascivement près de lui, remontrant légèrement ma jupe à chaque moulinet de bassin que je faisais. Bien vite, je fini assit une nouvelle fois sur ses genoux, bien caller pour sentir la bosse dans son pantalon et j’ai posé mes mains sur les siennes, mes faisant descendre lentement sur tout mon corps jusqu’à les posés sur mon postérieur. Mon corps frissonna de plaisir à cette caresse que je me faisais moi-même avec ses mains à lui. Me callant bien sur ses mains agrippés à mes fesses, j’ai activé légèrement mon pouvoir pour aiguisé mes ongles et j’ai totalement éventré ma camisole pour laissé découvrir mon ventre musclé et plat, ma peau blanche comme le lait et mes seins rebondis qui reposaient, pour le moment, encore calmement dans une brassière noir à dentelle rouge sang. J’ai alors posé mes mains derrière son cou, entrant légèrement mes ongles dans sa peau et j’ai humé son parfum. J’adorais les hommes qui se parfumaient. Lentement, j’ai commencé à bouger mon corps de haut en bas, mimant ainsi le mouvement de pénétration lascif, frôlant son visage entre mes seins à chaque mouvement. Je voulais l’agacer, le faire me désiré. Est-ce que ça marchait? Je n’en savais rien, mais moi, je m’amusais comme une folle.


Au bout de quelques minutes à danser de ce même mouvement, ma respiration devint plus saccadée. J’ai donc décidé qu’il était temps qu’il contemple également mon dos. Je me suis alors tourné, encore assise sur lui et j’ai calé mes fesses contre son bassin, recommençant mes mouvements de va et vient. En trois mouvements, ma jupe fut enlevée, montrant un string de la même couleur que mon soutien-gorge et des portes jarretelles en dentelle noire mordoré de rouge. Je m’étais préparé à l’éventualité qu’il veuille me voir en sous-vêtement. Ceux-ci avaient été choisi par un de mes amis. La seule chose qu’il m’avait demandé en échange, c’était que je défile pour lui, mais bon, revenons à notre danse! Je me suis levé, faisant serpenté mon dos contre son torse et j’ai commencé à me trémoussé, caressant lentement mon corps de mes mains, conservant ses mains contre moi. Je voulais sentir ses mains sur moi autant que sa respiration. Lentement, j’ai fait glissé la première bretelle de mon soutient gorge contre mon épaule et la deuxième suivit vient vite. Ondulant mon corps sur la musique, j’ai fermé les yeux, extatiques, et, donnant un coup de bassin vers l’avant devant, je me suis couché contre lui, dos appuyé contre son torse, tête calé contre son épaule et je lui ais soufflé un baisé. J’ai alors détaché ma brassière et je l’ai envoyé au loin. J’ai écarté mes jambes et je l’es ais enroulé contre les siennes pour y prendre une attache et j’ai prit ses mains que j’ai dirigé lentement sur mon string, lui faisant caressé la douceur de la dentelle. À cette caresse, j’ai sentit mon corps être parcourue d’une électrisante sensation. Si je ne m’arrêtais pas, c’est moi qui allais le supplier de me prendre. J’ai alors, mes mains contrôlant encore les siennes, je l’es ais remonté contre mon ventre et je les ais posés contre mes seins. Je les fis saillir et ensuite, je lui fis les compresser contre ses mains et j’ai gémie de plaisir.


« Alors, vous me renvoyez chez moi ou vous retiré votre pantalon? » demandais-je, ma bouche contre son cou.