Caleb Sullivan - Get lost in my world, if you dare enter...

Mon Histoire

« You have three options: My bed, you work at my club or you'll wish you never knew me. »

Aujourd’hui était une magnifique journée pour une interview. C’est ce que je pensais en me réveillant auprès de Natalie ou peut-être Bianca. Ah oui, Bianca. Elle avait sa tête sur mon torse tandis que Natalie préparait mon café. Tout devait se dérouler parfaitement comme je le voulais. Tout d’abord, l’odeur du café me chatouillait les narines et je me disais justement qu’il était temps que je me lève. Mais Bianca ne semblait pas vouloir se réveiller. D’un geste rapide sans aucune douceur, je la déposai à coté de moi puis je m'assoyais sur le bord de mon lit. N’ayant pas apprécié la façon que je venais de la traité, elle tentait de s’enlacer autour de mon corps afin de me garder au lit. Seulement, les jolies filles désespérées ne m’intéressent pas. J’apprécie d’autant mieux celle qui me surprendre plutôt que les pots de colle. Dommage, elle avait de merveilleux atouts qui m’auraient été utile mais elle aurait fait fuir une bonne partie de ma clientèle. Tout en soupirant, je m’adressais à sa petite blonde collé contre ma joue en disant :

-"Bianca… non, désolé cela ne fonctionnera pas. Navré mais ton manque d’expérience ne joue pas en ta faveur."
- " Mais je…"
-"Peux faire mieux ? J’en doute."

J’enfilai mon boxer puis mon pantalon sans aucun regard pour Bianca. C’est dans des moments comme celui-ci qu’il ne faut absolument pas s’attacher. Vous me trouvez un peu dur ? Trop dur ? Et une fille qui pleurniche aussitôt qu’elle reçoit un mauvais commentaire sa va rapporter de l’argent ? Dans ce travail, il n’y a pas de place pour les faibles et les prudes. J’ouvrais les portes parisiennes de ma chambre pour ensuite me rendre dans la cuisine. J’enlevai la tasse de café des mains de Natalie tout en agrippant ses fesses au passage. Tandis que j’écoutais vaguement ce qu’elle me disait, elle avait beaucoup d’énergie à revendre et véritable moulin à parole mais cela peut s’arranger. Suffit juste de tenir sa bouche occupée, si vous voyez ce que je veux dire. Tout en buvant mon café, je me dirigeais vers ma chambre avec Natalie lorsque Bianca s’excusait en sortant en trombe de mon appartement.

Cherchant une chemise convenable à me mettre sur le dos pour l’interview, Natalie se dandinait jusqu’à moi avec uniquement la chemise que je voulais mettre sur le dos. Elle semblait prête à tout faire pour avoir mon intention. Terminant mon café d’une traite tout en la dévorant des yeux, je n’avais pas d’autre choix que de lui enlever. J’aurais pu choisir une autre chemise, mais c’est elle que je voulais. Je me rapprochai et déboutonna chaque bouton en prenant bien soin de prendre mon temps. Elle se languissait mais une fois la chemise déboutonné, je l’enlevai et l’enfila aussitôt sans rien dire. Restant droite, nu comme un vers, elle me lança un regard remplis de défi. Décidément, elle n’avait pas apprécié et elle n’était pas satisfaite. Je l’embrassa fougueusement tout en agrippant ses fesses et je lui dis entre deux baiser fougueux :

- "Tu débuteras ce soir à 20h. Tes vêtements de travail son dans le salon. Les seules règles sont les suivantes : "

- "Ce que je demande tu exécutes. Tu respectes le code vestimentaire jusqu’à ce que je te dise le contraire. Tu gardes tous tes pourboires. L’alcool est gratuit mais tâche de faire en sorte que tes clients ou clientes rapporte du profit. Séduis-les et souviens-toi que tu es à moi maintenant. Je te protège, je te fournis un job mais sache que je n’oublie pas et je pardonne rarement les fautes. Oh et en passant, tu ne rentre pas chez toi après le travail, tu reviens directement ici. Myles va te guider si tu as des questions. "

Cette divine Natalie acquiesçait à chacune de mes paroles tout en plaçant un merci, je ferais tout ce que vous voudrez. Bien, j’étais contente de l’entendre. Maintenant, je devais me rendre à cette interview. Fichu banalité, comme si j’avais besoin de publicité télévisé. Je quittai mon appartement de luxe sans attendre ma nouvelle recrue. Je fis signe à Kreg de s’en occuper, ce qu’il allait surement faire avec soin.

IInstallé confortablement sur un sofa, je pensais justement à m’étendre en attendant que tous ce beau monde se place lorsque une jolie blonde s’avança vers moi. Elle portait une mini-jupe et un tailleur noir. Elle tendit sa main et se présenta :

- Katie Moss, enchanté Monsieur Sullivan.

Je me levai et lui serra la main. Puis je lui dis :

- Je vous en pris, appeler moi Caleb. Katie, si vous me permettez. Vous êtes bien trop jolie pour cacher vos atouts. Déboutonnez-moi ce tailleur.

-Mais je…

-Non non, ne posé pas de question. Vous et moi savons que vous voulez le déboutonné. Vous vous sentirez d’ailleurs beaucoup plus à l’aise lorsque se sera fait. Tenez, je vais vous aidé.

Puis, j’en profitai pour activé mon pouvoir et je l’appliquai autant avec mon regard qu’avec le toucher. Avec mon sourire charmeur, je déboutonnai son tailleur puis je le lui enlevai lentement. Puis, j’en profitai pour déboutonner les deux premiers boutons de sa chemise et j’ajoutai :

-Voilà, c’est mieux. Vous êtes vraiment sexy.

Puis je me rassis car le tournage de l’interview allait enfin commencer. Katie s’assit sur le sofa près de moi et je m’installais de sorte que je puisse avoir la vu directe sur ses seins. Puis, elle rougit en remarquant que je la déshabillais des yeux. Le silence ce fit enfin sur le plateau et le caméraman débuta le tournage. Katie débuta son discours :

-Ici Katie Moss, pour l’émission : Tout ce que vous désirez savoir sur la vie des riches. J’ai avec moi Caleb Sullivan, propriétaire du Strip Club dans le Nord de Withinghall. Alors Caleb, Pourquoi un Strip Club ? Pourquoi ne pas avoir choisi un autre boulot plus gratifiant ?

« Ok, c’est le temps d’augmenté la dose » Pensais-je en regardant Katie droit dans les yeux. Elle ne savait vraiment pas dans quoi elle s’était embarquée. Elle commençait déjà en sentir les premiers supplices du désir envers Caleb. Elle se mordillait la lèvre tandis qu’une bouffé de chaleur l’assaillit.

-J’ai toujours excellé dans ce domaine et je trouvais que c’était le meilleur moyen de faire du profit. Certes, mon père n’était pas d’accord. Il aurait voulu que je sois un fier militant de sa cause. Il m’a même déshérité. Me disant que j’étais une véritable honte pour la famille. Entre vous et moi, je suis plus riche que lui. Vous allez me dire que l’argent ne mène pas le monde et que je passe à côté de bien des choses. Je ne suis pas d’accord. J’ai tout ce qu’il me faut. Pour répondre à votre dernière question, pour moi c’est gratifiant de satisfaire mes clients ou bien mes clientes au jeu de la chair. Croyez-moi, ceux qui viennent sont rarement déçus.

Dès que j’eus terminé, elle déboutonna le reste de sa chemise et l’utilisa pour airer son corps. Les petits fourmillements se formaient dans son bas ventre tandis qu’elle continua en disant :

-Il parait que…que vous… payez très bien vos employés ? Vous … n’avez pas peur qu’il cesse de travailler pour vous ?

- Oui je paie très bien mes employés et non je n’ai pas peur qu’ils aillent voir ailleurs. Je leur offre un emploi, une assurance et parfois même un toit où dormir. Je ne demande rien de plus.

Evidement, la jolie blonde ne se doutait aucunement que le toit en question était le mien et que la condition était que mes employés se retrouvent dans mon lit. Mise à part une exception que je travail déjà à me l’approprié. Katie ignorait aussi que ceux qui avaient osé lui explosé au visage en lui criant qu’ils démissionnaient, devenaient une des nombreuses victimes du trafic humain qui se déroulaient à mon Strip Club. Sans oublié la prostitution. Finalement, moins elle en savait, mieux c’était.

Maintenant, Elle enlevait sa chemise et sa mini-jupe. Katie semblait plus à l’aise dans ses sous-vêtements mauves en dentelle. Sauf que Caleb en n’avait pas encore fini avec elle. Décidant de s’amuser, il envoya une troisième dose. Katie semblait avide et prête pour le sexe. Elle se tortillait déjà près de lui et lui il affichait son sourire moqueur. La plupart de ses victimes, après trois doses de son pouvoir, lui suppliât déjà de faire l’amour avec lui.

-Wow...je veux dire… je vois. Mmmm, Il parait que vous…mmm… embrassez bien aussi.

Aussitôt dit, elle me sauta dessus. Le personnel criait d’arrêter de filmer, moi j’en profitais au maximum. Ils durent se mettre à deux pour l’enlever de sur moi. Tandis que son patron lui criait de se rhabiller et que c’était indécent de sa part d’avoir fait cela en directe. Je décidai par la suite qu’elle ne serait pas la seule sous mon pouvoir. Cette fois-ci, sous l’effet d’une énorme vague d’énergie, tout le monde ce sentait euphorique et ressentirent l’irrésistible envie de sauté sur tout ceux qui se trouvaient tout près. Même le patron c’était calmer en disant à Katie qu’il lui pardonnerait tout si elle se donnait à lui.

Je décidai à ce moment là qu’il était temps que je retourne à mon Strip Club. Basil m’avait prévenu de ne pas les traumatisés. Ils n’ont pas l’air du tout traumatisé mais bien à l’aise entre eux. Par contre, ils risquent de devenir la risée de la population. Tandis que moi, ma clientèle va doubler. Je ferais n’importe quoi pour du profit, j’ai une réputation à garder.